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samedi, 23 janvier 2010

Top Santé

L'AMOUR  AU  FÉMININ

Les Françaises sont romantiques mais réalistes. <<Top Santé>> le déduit d'un sondage exclusif, réalisé par Harris Interactive, sur les <<Femmes et l'amour>>. Elles sont 67% à penser que l'amour peut durer toute la vie et 73% à envisager une séparation en cas de crise dans le couple. L'infidélité apparaît comme le principal motif de séparation (59%) alors que 57% des femmes redoutent la routine dans le couple. Le sexe n'est pas un sujet tabou : 78% de celles qui vivent en couple sont satisfaites de leur vie sexuelle (64% des femmes en général). De plus, elles apparaissent comme des femmes libérées, pratiquant la fellation (78%), utilisant des sex toys ou autres accessoires et ne dédaignant pas les films X. (Top santé février 2010)

 

Et qu'ça saute !!!...

mercredi, 29 juillet 2009

Armstrong

(Le cycliste, pas celui qui a marché sur la Lune !!!)

Le bouclier de la lutte contre le cancer

Atteint en 1996 d'un cancer testiculaire avec d'importantes métastases, Armstrong a fait l'objet la même année d'une ablation du testicule, d'un traitement chirurgicale de ses métastases cérébrales (5h d'intervention) et de 4 cycles de chimiothérapie. Quand il fut assuré, en 1997, de son statut de survivant, il créa la fondation, qui leva pour sa 1ère année 250.000 dollars et pesait moins de 10 ans plus tard 52 millions de dollars. Face à ses accusateurs, il se mua en chevalier blanc qui mobilise contre << la maladie du siècle >>, icône du cancer. Mais, dans le <<Sunday Times>>, l'ex-coureur américain Paul Kimmage n'hésite pas à traiter Armstrong de << cancer du sport cycliste >>. Sans aller jusque-là, le Pr Rieu note que << même si l'argent n'a pas d'odeur, la lutte contre le cancer mérite mieux que lui, compte tenu du caractère sulfureux du personnage >>. (Quotidien du médecin n°8601)

Quelqu'un m'a fait comme remarque hier : << 4 ans ta récidive, ah c'est pas mal, il y en a c'est 2 ans >>...

Je suis restée calme !!!...

mercredi, 17 juin 2009

Etude

LE PIRE DU MEILLEUR

Juin. Des mariages. Des engagements <<pour le meilleur et pour le pire>>. Des meilleurs qui peuvent se tranformer en pire ! C'est ce que prédisent aux jeunes époux des médecins californiens. Mariez-vous, expliquent-ils, et vous aurez deux fois plus de risque de devenir obèses. En revanche, si vous décidez de ne conserver qu'une <<relation romantique>> chacun chez soi, Mesdames, vous n'aurez que 63% de sur-risque d'obésité. Quant à vous, Messieurs, vous conserverez votre allure svelte.

Et c'est ici que s'explique le pire du meilleur. La vie commune (maritale ou non) fournit parmi les bons moments le partage des repas, la préparation de petits plats... un peu copieux, les restaurants. Ce peut être aussi des soirées, blottis dans un canapé devant la télé ou un DVD... au lieu de faire du sport. Et puis, chacun se moule dans les habitudes alimentaires et physiques de l'autre. En sachant, constatent les médecins américains, que le risque d'obésité d'un membre de la famille influe fâcheusement sur les autres.

La solution ? Avant ce cap des 2 ans de vie commune, chacun devrait imposer ses bonnes habitudes et non adopter celles de l'autre.

Au fait, le mariage réduit le tabagisme et prolonge l'espérance de vie. Les arguments sont exposés, à chacun de choisir. (Quotidien du médecin n° 8590)

32 ans de mariage, toujours le même poids...

Je tiens le cap !!!!

jeudi, 14 mai 2009

Préservatif

LES LIMITES DU PRÉSERVATIF

Au regard du risque zéro, le traitement ne se distingue pas du préservatif, dont l'efficacité dépend des conditions d'utilisation. L'efficacité du préservatif, quasi parfaite en théorie, pour prévenir la transmission du VIH, apparaît soumise aux conditions de son utilisation. Des études menées sur des cohortes d'usagers, montrent que même dans les groupes d'utilisateurs les plus rigoureux, qui utilisent le préservatif lors de toute pratique de pénétration, des transmissions sont observées. Dans le vie réelle, le préservatif systématiquement et correctement utilisé réduit le risque de transmission du VIH, selon les études, de 90 à 95% par rapport à l'absence de protection. Les limites de la prévention sont connues : usage non systématique, mésusage, rupture. En raison de ces limites, <<le message unique autour du préservatif est aujourd'hui insuffisant>>, explique le Pr Willy Rozembaum, président du CNS. (Quotidien du médecin n° 8562)

Un conseil : Couvrez-vous !!!

 

capotes.jpg

dimanche, 10 mai 2009

Chewing-gum

Un effet chewing-gum ?

Des ados meilleurs en maths...

<<Pourquoi tu ne manges pas de chewing-gum ? Tu veux encore te faire virer du cours de maths ?>> Si ce dialogue entre élèves vous paraît surréaliste, il ne l'est peut-être pas tant que ça, si on juge par une étude menée par le Baylor Collège of Médecine de Houston. Le chewing-gum semble en effet améliorer les performances en mathématiques des adolescents. En étudiant une vraie classe, les chercheurs texans se sont aperçus sur une période de 14 semaines que les élèves mâchants en cours et pendant leurs devoirs obtenaient de meilleures notes à leurs contrôles de maths. Les performances étaient ainsi améliorées de 3%; certes, l'effet n'est pas fulgurant, mais apparaît néanmoins significatif.

Comment s'exercerait cet effet inattendu ?

Peut-être en diminuant le stress, en améliorant la concentration et en canalisant l'anxiété, proposent les auteurs. Les industriels de la confiserie feront valoir l'argument que, dans un monde de plus en plus compétitif et standardisé, le moindre gain de performance peut se révéler déterminant pour un concours...

Le destin d'une vie ne tiendrait-il qu'à un chewing-gum ? (Quotidien du médecin n° 8563)

J'vais finir ma crème brûlée à la lavande...

mardi, 28 avril 2009

Energie

Même au repos, les muscles des sportifs

consomment de l'énergie !!!

Les athlètes brûlent d'avantage d'énergie que les sédentaires, même lorsque l'entraînement est fini : une étude américaine vient en effet de démontrer que la pratique d'un sport d'endurance conduit à des modifications profondes du métabolisme énergétique. Ce phénomème pourrait jouer un rôle important dans les mécanismes biologiques grâce auxquels l'exercice physique réduit le risque de diabète de type 2.

Les chercheurs ont focalisé leur attention sur 2 fonctions mitochondriales : la fonction oxydative et la synthèse d'ATP. Il est alors apparu que la fonction oxydative associée au métabolisme des athlètes est bien plus efficace que celle des sédentaires, y compris lorsque le muscle est au repos. En revanche, le taux de synthèse de l'ATP est semblable dans les deux groupes de volontaires.

Ces données suggèrent que, même au repos, les muscles des sportifs utilisent d'avantage d'énergie que ceux des sédentaires. ils convertissent cette énergie en chaleur.

La pratique d'un sport d'endurance est depuis longtemps connue pour modifier la fonction musculaire. Il est en particulier bien établi que l'entraînement conduit à une augmentation de la densité des capillaires qui irriguent le muscle.

L'ensemble de ces modifications auraient un impact positif sur le métabolisme en général, associé à une diminution du risque de diabète. Les données aujourd'hui fournies par Shulman et son équipe suggèrent que les sports d'endurances induiraient, entre autre, la combustion des surplus énergétiques. (Quotidien du médecin n° 8444)

C'est bien ce qui m'semblait,

je suis en perpétuelle activité !!!

vendredi, 24 avril 2009

En bref

10 à 20 ans de vie en moins

pour les obèses sévères

Selon une étude menée par la Cass Business School (Londres), un homme jeune (non fumeur) souffrant d'obésité sévère (IMC > 40) et ayant un rapport taille/hanche (RTH) > 0,74 perdrait une dizaine d'années d'espérance de vie (voire jusqu'à 20 ans !), par rapport à un homme aux mesures optimales. Et une femme de 30 ans avec un IMC de 45 et un RTH > 0,8 perdrait jusqu'à 13 ans. Les sujets modérément obèses sont aussi concernés : un homme de 30 ans avec un IMC de 34 vivrait 4 ans de moins; une femme, 2 ans de moins. (Impact médecine n°274)

Ca, c'est pour vous préparez, la suite demain...

samedi, 18 avril 2009

Souffrance

LE  TRAVAIL  EN  SOUFFRANCE

Un homme sur 4 et une femme sur 3 souffrent de mal-être au travail, selon le programme Samotrace (SAnté Mentale Observatoire Travail Rhône-Alpes CEntre) développé avec l'institut national de veille sanitaire. Parmi les 6.056 salariés étudiés, les catégories : employées et professions intermédiaires, sont les plus concernées. Les professions les plus touchées sont : les finances, l'administration publique et la production et distribution d'électricité, de gaz et d'eau (???). L'évaluation de la santé mentale dans le cadre de la surveillance des maladies à caractère professionnel objective des résultats assez similaires. Dans une étude dijonnaise, le <<job strain *>> comportant forte contrainte et faible latitude décisionnelle concerne 19,6% pour les hommes et 28% pour les femmes. En revanche, pour la santé mentale, la convergence entre contrainte et survenue d'une pathologie est qualifiée de <<relative>>. (Le Généraliste n° 2484 du 03 avril 2009)

*Job strain : manque de soutien et des marges de manoeuvre limitées, ainsi que des objectifs quantitatifs difficilement atteignables.

Bizarre, ce sont les plus protégés qui souffrent...

mardi, 14 avril 2009

Sommeil

TOUJOURS  NÉGLIGÉ  PAR  LES  FRANCAIS

Un tiers de la population souffre de troubles du sommeil, dont 84% d'insomnie, selon une étude présentée en début de semaine à l'occasion de la 9ème journée nationale du sommeil, le 18 mars passé (excusez-moi, je me suis endormie...). Menée auprès de 1 000 personnes, âgées de 18 à 55 ans, l'enquête <<confirme la dette de sommeil chronique des Français qui dorment en moyenne 6h58 par nuit>>, selon l'Institut national du sommeil et de la vigilance comparant ces résultats à ceux obtenus lors des précédentes études. Plus de 40% des adultes interrogés sous-estiment le besoin de sommeil de leurs enfants en bas âge. D'après les recommandations de l'INSV, la durée du sommeil d'un enfant évolue de 16 à 12 heures environ par 24h, de la naissance à 3 ans. Or 43% des parents évaluent ce besoin à moins de 13 heures. face aux troubles du sommeil les Français sont mal informés. Seulement 3,2% des personnes se disent souffrir d'apnées du sommeil. Alors que la prévalence de ce syndrome est estimée à 10% de la population générale. (Impact médecine n° 273)

Vous avez vu l'heure !!! Bonne Nuit...

samedi, 11 avril 2009

Chocolat noir

DOUX  POUR  LE  COEUR  AUSSI

Le chocolat noir, riche en flavonoïdes, est bon pour le système cardio-vasculaire. Une étude japonnaise révèle, en effet, que sa consommation régulière (env. 1/2 tablette/jour pour moi) conduit à une amélioration de la circulation sanguine coronarienne. Les chercheurs de l'université de Chiba ont abouti à cette conclusion après avoir étudié différents marqueurs cardio-vasculaires chez une vingtaine d'adultes qui avaient mangé 550 mg de chocolat noir chaque jour, pendant deux semaines. Les données receuillies dans ce groupe de volontaires ont été confrontées à celles de témoins qui avaient mangé une quantité équivalente de chocolat blanc, dépourvu de flavonoïdes. (Quotidien du médecin n° 8257)

Chacun ses tablettes !!!

Joyeuses Pâques à vous !!!

lundi, 30 mars 2009

Etude

Où se niche l'hygiène !

Bonne nouvelle pour les amis des chiens. Enfin, une réponse <<validée>> lorsqu'ils esssuieront un regard accusateur parce que leur ami fidèle leur lèche le visage ou une réflexion à l'annonce de <<la nuit il dort sur mon lit>>. Cette réponse, donc, est fournie par Kate Stenske, une vétérinaire du Kansas : au cours de ces moments d'affection, il n'existe guère d'échange bactérien entre l'humain et le canin.

Pour le démontrer, la jeune vétérinaire a centré son travail sur Escherichia coli, parfaitement commune aux 2 systèmes digestifs. Après typage génétique des bactéries, elle n'a retrouvé que 10 % de souches communes. Résultat apaisant, certes, mais l'animal ne transmet-il pas des souches résistantes à ses maîtres? De fait, elle a découvert une proportion plus élevée qu'attendue d'E. coli résistants aux antibiotiques usuels... dans le système digestif humain. Ce ne sont pas les chiens qui contaminent leurs amis humains, mais l'inverse suggète t-elle.

Alors l'hygiène, qui constitue bien le fond du problème, n'est donc pas là. Elle se niche dans le lavage des mains. L'étude a montré un lien très net entre la fréquence de l'antibiorésistance et l'absence de lavage des mains après avoir cajolé son compagnon ou avant de cuisiner.

La conclusion n'a donc rien d'original : se laver souvent les mains. (Quotidien du médecin n° 8501)

 

vendredi, 27 mars 2009

En bref

Faire bouger les sujets en surpoids

Confirmation. Les sujets obèses sédentaires qui se lancent dans des excercices sportifs d'endurance et aérobiques améliorent leur forme physique et leur insulinorésistance. (Quotidien du médecin n° 8499)

Allez les gros, on s'bouge !!!

lundi, 23 mars 2009

Etude

Les vertus de la carotte

Comme de nombreux parents, vous vous êtes demandés comment aider vos enfants dans leur scolarité. Eh bien ! faites confiance à la méthode de la <<carotte>>, il se pourrait bien que le fameux stratagène ait des vertus éducatives insoupçonnées.

Des psychologues de l'université de Californie viennent en effet de montrer qu'une récompense crée une tension et rend plus réceptif à l'environnement visuel de manière passive et quasi inconsciente. Car le plus étonnant, c'est qu'on enregistrerait même les stimulis visuels sans aucun rapport, de près ou de lion, avec la récompense. Cette constatation a de quoi bousculer nos principes d'enseignement. Certaines formes d'apprentissage ne nécessiteraient donc pas de focaliser son attention.

Le Dr Aaron Seitz et ses collègues ont tiré leurs conclusions d'expériences menées chez des sujets à jeun depuis 5 heures. Les sujets regardaient passivement un écran avec un tube dans la bouche. Quand des images étaient projetées, une goutte d'eau leur était envoyée. Il est apparu que le couplage de cette <<récompense>> faisait mémoriser l'image précédent la goutte d'eau, sans qu'il y ait aucune explication sur l'excercice au préalable. (Quotidien du médecin n° 8531)

J'aime bien les bijoux comme carotte...

jeudi, 12 mars 2009

Sentiment

Dieu dans le cerveau ?

Des Américains confirment la réalité du sentiment religieux et identifient les structures cérébrales qu'il met en jeu. Le sentiment d'une puissance supérieure serait en chacun, découlant d'un processus qui remonte aux fondements de l'espèce.

Par 2 approches complémentaires, une équipe de neurologues de Bethlehem Bethesda (Etats-Unis) a non seulement démontré la réalité du sentiment religieux, mais a, de plus, identifié les structures cérébrales qu'il met en jeu. Au-delà de ces stimulantes données, cette étude aboutit à un constat troublant : que nous nous déclarions croyants ou athées, nous serions néanmoins tous habités par <<l'idée de Dieu>>. (Quotidien du médecin n° 8527)

Vade retro...

mardi, 10 mars 2009

Etude

Poignée d'amour à couper le souffle

C'est vrai, certaines (ou certains) les trouvent rassurantes, attendrissantes, voire douillettes, pourtant les <<poignées d'amour>> n'annoncent plutôt rien de bon. Citons en vrac : diabète, hypertension, maladies cardio-vasculaires, syndrome métabolique... Eh bien ! des chercheurs français viennent encore assombrir le tableau, en y ajoutant la fonction respiratoire.

Nathalie Léone et son équipe INSERM n'ont pas ménagé leur peine. Ils ont pris en compte les données de plus de 120 000 personnes vues pour des bilans de santé en région parisienne. En associant les résultats des explorations fonctionnelles respiratoires (EFR) et le périmètre abdominal, ils ont constaté une relation. Un tour de taille supérieur à 1 m chez les hommes et à 87,5 cm chez les femmes est associé à une détérioration de ces paramètres respiratoires. D'aucuns pourraient évoquer l'influence d'autres facteurs. Il n'en est rien, le lien persiste après ajustement selon  l'âge, le sexe, le tabagisme, l'activité physique, la consommation d'alcool, l'IMC...

Restera à déterminer si cette graisse abdominale agit de façon mécanique sur les poumons ou par des phénomènes inflammatoires systématiques. (Quotidien du médecin n° 8526)

Au secours, j'en veux pas !!!

mercredi, 04 mars 2009

Etude

Une flèche, un coeur et des hormones

Avec l'arrivée prochaine du printemps, Cupidon va de nouveau décocher ses flèches. Des joues vont s'empourprer, des mains devenir moites, des coeurs battre la chamade.

Tomber amoureux, explique plus prosaïquement Domeena Renshaw (Chicago), fait libérer un "élixir interne d'amour". En fait, un flot d'hormones qui procure une sensation de bien-être intense. Elles ont pour noms dopamine, adrénaline et noradrénaline. La 1ère crée le sentiment d'euphorie ; les 2 autres sont responsables de la tachycardie, de l'excitation et de l'obnubilisation. Et puis la sérotonine baisse. Alors, comme dans les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), l'amoureux ne s'intéresse plus qu'à un seul objet : celui de son désir.

Ce chamboulement hormonal est exprimé de longue date par un dicton populaire : l'amour est aveugle. L'amoureux idéalise l'autre. Il ne voit que ce qu'il veut voir (au début de la relation, tout du moins). Tandis que l'entourage, pas <<chamboulé>> du tout, contemple la situation. L'oeil plus objectif, voire critique.

L'IRM du coup de foudre existe. D. Renshaw l'a rencontrée. Les centres cérébraux du plaisir sont excités. Un afflux de sang y est enregistré. Comme chez les toxicomanes.

Obsession, aveuglement, toxicomanie... peut-être vaudrait-il mieux oublier le biologique pour ne garder que l'affectif (Quotidien du médecin n° 8521)

CoeurMurano.jpg

mercredi, 18 février 2009

Tabac

Le tabac fait vieillir prématurément

Une étude conduite sur le syndrome de Werner, une maladie du vieillisssement prématuré montre que le tabagisme fait un peu la même chose en catalysant les phénomènes cellulaires de l'âge. << Fumer peut réduire l'espérance de vie de 10 ans >>, indique un des auteurs, le Dr Toru Nyunoya (université d'Iowa) dans l'Américan Journal of Respiratory and Critical Care Medicine. La fumée de cigarettes réduit la synthèse d'une protéine impliquée dans la réparation de l'ADN. (Le Généraliste n° 2477)

Mais non, CATHIMINIE, je ne m'acharne pas sur toi !!!

 

vendredi, 16 janvier 2009

Sommeil

LE  SOMMEIL  PROTÈGE  DU  RHUME

Le manque de sommeil, moins de 7 heures pas nuit, triplerait le risque de contracter un rhinovirus par rapport à des sujets qui dormiraient au moins 8h. Résultat d'une étude menée aux États-Unis auprès de 153 volontaires (hommes et femmes) de 37 ans en moyenne. Il leur a été demandé d'évaluer sur 2 semaines leur durée de sommeil effectif. Puis au cours d'une période de quarantaine, ils ont reçu une inoculation nasale de rhinovirus. Ensuite ont été recherchées la survenue d'une rhinite, la présence du virus sur les muqueuses nasales et la montée d'anticorps au 28ème jour.

Les petits dormeurs avaient un risque majoré.

(Quotidien du médecin n° 8488)

J'ai trouvé pourquoi j'avais un gros rhume !!!

 

jeudi, 04 décembre 2008

Tabac

L'AIR  DES  CAFÉS  SOUS  CO et CO2

(CATHIE, vas voir un autre blog...)

<<Les bénéfices de l'interdiction de fumer>> à l'intérieur des cafés, brasseries et restaurants <<sont annulés par l'existence de terrasses fumeurs>>, affirme une étude de l'association Droits des non-fumeurs (DNF) adressée au ministère de la Santé. Les taux de particules fines en suspension dans l'atmosphère atteignent en moyenne 116.000/cm3 lorsque la terrasse est close et couverte, et 63.500 avec un auvent ou des parasols, la pollution au monoxyde de carbone (CO) entrant par les portes, ouvertes parfois en permanence, et les bouches d'aération des systèmes d'extraction d'air. A Paris, les établissements sont ainsi beaucoup plus pollués que les rues (23.000) ou le métro (35.000), dépassant les seuils de recommandation de l'OMS. S'y ajoutent les émissions de CO2 à effet de serre, de 3kg à l'heure pour les calorifères au propane très en vogue aux terrasses.

(Quotidien du médecin n° 8465)

Moi, j'habite pas Paris, alors...

 


samedi, 29 novembre 2008

Etude

DU  CANNABIS  POUR  LA  MEMOIRE

Attention, prévient Gary Lenk, professeur en psychologie dans l'Ohio, nous ne conseillons pas aux individus à risque d'Alzheimer de fumer de la marijuana à titre préventif, même si cela peut agir. Ce que montre son étude est qu'une substance légale, mimant d'importantes activités de cette drogue, peut agir sur des récepteurs cérébraux et limiter les méfaits de l'âge sur la mémoire.

L'équipe américaine a constaté que le THC (tétrahydrocannabinol) possède des vertus anti-inflammatoires au niveau cérébral. Il contribue ainsi à une conservation des fonctions mnésiques, sans provoquer les actions psychoactives de la plante elle-même. Pour l'instant, ces conclusions n'ont été mises en évidence que chez les rongeurs.

Allant plus loin dans leur investigation les chercheurs ont identifié les cibles cérébrales du THC synthétique. Il s'agit d'au moins 3 récepteurs. Ils appartiennent au système endocannabinoïde impliqué tant dans les processus associés à la faim, à l'humeur et à la réponse à la douleur qu'à la mémoire. Ces récepteurs, enfin, agissent sur l'inflammation cérébrale, mais aussi  sur la neurogenèse.

Pour les auteurs, il est ainsi clair que le THC ne peut plus grand chose une fois la symptomatologie constituée. A l'inverse, il est porteur d'espoir avant la constitution des troubles mnésiques. (Quotidien du médecin n° 8464)

Allez, j'vous laisse, j'vais m'en fumer un p'tit...