Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 24 avril 2009

En bref

10 à 20 ans de vie en moins

pour les obèses sévères

Selon une étude menée par la Cass Business School (Londres), un homme jeune (non fumeur) souffrant d'obésité sévère (IMC > 40) et ayant un rapport taille/hanche (RTH) > 0,74 perdrait une dizaine d'années d'espérance de vie (voire jusqu'à 20 ans !), par rapport à un homme aux mesures optimales. Et une femme de 30 ans avec un IMC de 45 et un RTH > 0,8 perdrait jusqu'à 13 ans. Les sujets modérément obèses sont aussi concernés : un homme de 30 ans avec un IMC de 34 vivrait 4 ans de moins; une femme, 2 ans de moins. (Impact médecine n°274)

Ca, c'est pour vous préparez, la suite demain...

mardi, 14 avril 2009

Sommeil

TOUJOURS  NÉGLIGÉ  PAR  LES  FRANCAIS

Un tiers de la population souffre de troubles du sommeil, dont 84% d'insomnie, selon une étude présentée en début de semaine à l'occasion de la 9ème journée nationale du sommeil, le 18 mars passé (excusez-moi, je me suis endormie...). Menée auprès de 1 000 personnes, âgées de 18 à 55 ans, l'enquête <<confirme la dette de sommeil chronique des Français qui dorment en moyenne 6h58 par nuit>>, selon l'Institut national du sommeil et de la vigilance comparant ces résultats à ceux obtenus lors des précédentes études. Plus de 40% des adultes interrogés sous-estiment le besoin de sommeil de leurs enfants en bas âge. D'après les recommandations de l'INSV, la durée du sommeil d'un enfant évolue de 16 à 12 heures environ par 24h, de la naissance à 3 ans. Or 43% des parents évaluent ce besoin à moins de 13 heures. face aux troubles du sommeil les Français sont mal informés. Seulement 3,2% des personnes se disent souffrir d'apnées du sommeil. Alors que la prévalence de ce syndrome est estimée à 10% de la population générale. (Impact médecine n° 273)

Vous avez vu l'heure !!! Bonne Nuit...

jeudi, 16 octobre 2008

Stress

LA  SOUFFRANCE  AU  TRAVAIL

est parfois difficile à détecter

 

Principaux symptômes dus à un état de stress chronique

Symptômes physiques :

Douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sueurs inhabituelles...

Symptômes émotionnels :

Sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes ou de nerfs, angoisse, excitation, tristesse...

Symptômes intellectuels :

Difficultés de concentration, erreurs, oublis, difficultés à prendre des initiatives...

Symptômes comportementaux :

Modification des conduites alimentaires, comportements violents et agressifs, isolement social (repli sur soi, difficultés à coopérer), consommation de produits calmants ou excitants (café, tabac, alcool, somnifères anxiolytiques...)...

 

20 à 30 % des salariés souffrent de stress lié au travail.

300 à 400 cas de suicide attribués au stress professionnel chaque année.

15 % des arrêts de travail imputables à des problèmes psychosociaux.

1 salarié sur 4 travaillant avec du public subit des agressions verbales.

Les consultations pour troubles psychosociaux se sont multipliées par 4 entre 2001 et 2006 dans les centres de consultation pour pathologies professionnelles.

(Impact médecine n° 250)

Finalement, je vais peut-être aller me recooucher...