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lundi, 29 avril 2013

Scoop

Un rayon de soleil !!!

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En réalité, c'était demain !

 

Comprendra qui pourra...

mardi, 31 mai 2011

Suicide

D'un nain de jardin...

Même eux sont au bout... du rouleau ;o)

mardi, 19 janvier 2010

Patrons

Engueuler son patron, c'est bon pour la santé !

C'est vrai, l'étude présentée par Emma Donaldson-Feilder à une conférence de la British Psychological Society ne le dit pas exactement dans ces termes. Mais ce n'est pas loin, puisqu'elle tend à montrer qu'il est sain de dire à son supérieur hiérarchique ce que l'on pense de lui.

Les relations entre chefs et subordonnés sont la cause de stress au travail la plus fréquemment mise en cause. L'enquête a porté sur 150 cadres supérieurs, qui ont été  répartis en 2 groupes : ceux du 1er groupe ont reçu une formation et/ou des commentaires de leurs subordonnés sur leurs méthodes de management; les autres n'ont rien reçu. Dans le même temps, on a demandé à 500 employés de les noter.

Résultats : Quand les dirigeants recevaient des commentaires des employés, ils étaient plus enclin à modifier leur style de gestion et ils étaient perçus comme des cadres plus efficaces. Quant aux employés qui pouvaient être francs avec leur chef, ils évacuaient leur stress.

Rappelant les méfaits du stress pour la santé (anxiété, dépression, palpitations, hypertension, problèmes cognitifs...) Emma and Co estiment donc faire oeuvre de prévention en préparant un questionnaire que les équipes pourront utiliser pour noter leurs dirigeants. Lesquels seront fortement encouragés à apprendre à mieux gérer leurs émotions, à être en empathie avec les individus et à résoudre les conflits.

Dans le meilleur des mondes du travail possible (Quotidien du médecin n° 8687)

Je commence demain...

vendredi, 09 octobre 2009

Stress

"Le ministre du Travail demande que les entreprises de plus de 1.000 salariés lancent rapidement des négociations sur le stress. Faute de quoi il dévoilera leurs noms sur internet".

Entre-nous,

Combien y a t-il d'entreprises de 1000 salariés et plus ???...

jeudi, 16 octobre 2008

Stress

LA  SOUFFRANCE  AU  TRAVAIL

est parfois difficile à détecter

 

Principaux symptômes dus à un état de stress chronique

Symptômes physiques :

Douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sueurs inhabituelles...

Symptômes émotionnels :

Sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes ou de nerfs, angoisse, excitation, tristesse...

Symptômes intellectuels :

Difficultés de concentration, erreurs, oublis, difficultés à prendre des initiatives...

Symptômes comportementaux :

Modification des conduites alimentaires, comportements violents et agressifs, isolement social (repli sur soi, difficultés à coopérer), consommation de produits calmants ou excitants (café, tabac, alcool, somnifères anxiolytiques...)...

 

20 à 30 % des salariés souffrent de stress lié au travail.

300 à 400 cas de suicide attribués au stress professionnel chaque année.

15 % des arrêts de travail imputables à des problèmes psychosociaux.

1 salarié sur 4 travaillant avec du public subit des agressions verbales.

Les consultations pour troubles psychosociaux se sont multipliées par 4 entre 2001 et 2006 dans les centres de consultation pour pathologies professionnelles.

(Impact médecine n° 250)

Finalement, je vais peut-être aller me recooucher...

 

mardi, 15 juillet 2008

Spécial "Hommes"

L'ACTE  SEXUEL, FACTEUR  DE RISQUE ?
 
Le stress ou l'émotion font qu'il n'est pas entièrement possible d'assimiler l'acte sexuel après la cinquantaine à un simple effort de 90 watts. Mais il peut être nécessaire de rappeler aux patients que la dysfonction érectile est un symptôme sentinelle de maladie cardio-vasculaire et du syndrome métabolique. Celui-ci doit être recherché et pris en charge afin de prévenir la survenue de complications cardio-vasculaires.
Par ailleurs, non associée aux dérivés nitrés, la prescription d'un inhibiteur de la phosphodiestérase 5 apparaît bénéfique en cas de dysfonction érectile. La lutte contre les facteurs de risque fait également partie intégrante du traitement. C'est tout particulièrement nécessaire pour l'arrêt du tabagisme, certains travaux ayant montré que celui-ci augmenterait le risque de dysfonction érectile...
Il semble enfin que 3% des infarctus surviennent en moyenne 2 h après un rapport sexuel chez les sujets ayant une insuffisance coronaire, connue ou non. Mais la prédiction de ce risque est possible grâce à la réalisation d'une épreuve d'effort. En effet, aucun cas d'ischémie myocardique n'a été documenté chez les sujets dont l'épreuve d'effort était négative. (Quotidien du médecin n° 8395
 
 
L'homme est-il condamné à des "peines" ou des "pannes" de coeur ???...