Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 19 novembre 2012

Toilettes

Journée Mondiale des Toilettes

 

Toilettes.jpg

Et me dîtes pas que cette note est "chiante" !...

jeudi, 29 septembre 2011

Warning

Panneau trouvé dans un wc à Sienne...

Warning.jpg

Nous sommes donc : des chattes ?...

 

vendredi, 17 juin 2011

Étude

SERRONS-NOUS LA MAIN

Les politiciens, les médecins, les personnalités en vue et, plus généralement, les inquiets de l'hygiène peuvent être rassurés. La poignée de main n'est pas le vecteur de bactéries que l'on croyait. Même après des échanges itératifs, la contamination demeure très faible.

Pour le prouver, il fallait trouver la situation à risque idéale. Des chercheurs du Maryland, David Bishal et coll., l'ont trouvé : les diplômes de fin d'année, quand les enseignants remettent un document, puis félicitent l'impétrant.

Des prélèvements ont été effectués, avant la cérémonie, puis à l'issue de la séance chez 25 <<officiels>>. Sur les cultures avant la séance, une seule a identifié un pathogène, un staphylocoque résistant à la méthicilline. Après moult échanges, toutes leurs mains portaient des bactéries...

Mais les auteurs estiment le taux de contamination à un pathogène pour 5209 poignées de main.

Ils ajoutent que, parmi les étudiants, qui ont serrés moins de mains, la contamination est 100 fois moins élévée que le 17% enregistré chez les soignants au contact de staphylocoques résistant à la méthicilline.

Le contage réduit pourrait être dû à la briéveté de l'échange et à la moindre prévalence des SARM hors hôpital.

Rien n'empêche ceux qui le veulent de se désinfecter les mains quand même. (Quotidien du médecin, n° 8967)

 

Oh là, t'as la main propre ?...

mardi, 05 mai 2009

Mains propres

mainspropres.jpg

Mission Mains Propres

A quand la journée des "Fesses Propres"...

lundi, 30 mars 2009

Etude

Où se niche l'hygiène !

Bonne nouvelle pour les amis des chiens. Enfin, une réponse <<validée>> lorsqu'ils esssuieront un regard accusateur parce que leur ami fidèle leur lèche le visage ou une réflexion à l'annonce de <<la nuit il dort sur mon lit>>. Cette réponse, donc, est fournie par Kate Stenske, une vétérinaire du Kansas : au cours de ces moments d'affection, il n'existe guère d'échange bactérien entre l'humain et le canin.

Pour le démontrer, la jeune vétérinaire a centré son travail sur Escherichia coli, parfaitement commune aux 2 systèmes digestifs. Après typage génétique des bactéries, elle n'a retrouvé que 10 % de souches communes. Résultat apaisant, certes, mais l'animal ne transmet-il pas des souches résistantes à ses maîtres? De fait, elle a découvert une proportion plus élevée qu'attendue d'E. coli résistants aux antibiotiques usuels... dans le système digestif humain. Ce ne sont pas les chiens qui contaminent leurs amis humains, mais l'inverse suggète t-elle.

Alors l'hygiène, qui constitue bien le fond du problème, n'est donc pas là. Elle se niche dans le lavage des mains. L'étude a montré un lien très net entre la fréquence de l'antibiorésistance et l'absence de lavage des mains après avoir cajolé son compagnon ou avant de cuisiner.

La conclusion n'a donc rien d'original : se laver souvent les mains. (Quotidien du médecin n° 8501)

 

mardi, 05 février 2008

Embrassez

QUI  VOUS  VOUDREZ....
 
Que vous soyez enrhumé et soucieux de ne pas contaminer votre entourage, ou en bonne santé et bien décidé à le rester, rappelez-vous qu'un baiser sur la joue est finalement préférable à une poignée de main.
 
C'est en tous les cas ce qu'affirme le Prof. Sally Bloomfield, de la London School of Hygiène.
"Les gens évitent de s'embrasser lorsqu'ils sont malades, mais, en fait, ils ont plus de risque de transmettre leur infection en serrant la main de quelqu'un", a t-elle expliqué dans le quotidien britannique "Daily Mail".
 
La chercheuse a participé à une vaste étude sur l'impact de l'hygiène des mains dans la prévention du risque infectieux. Cette métaanalyse démontre que toutes les mesures visant à inciter au lavage régulier des mains permettent d'obtenir une diminution significative de l'incidence des infections gastro-intestinales, respiratoires et dermatologiques.
 
Les données recueillies au cours de cette étude indiquent en outre que la transmission du rhinivirus implique pratiquement toujours des mains : on attrape un rhume en touchant une surface souillée avant de porter sa main à ses yeux ou à son nez.
 
En revanche, il semble extrêmement difficile de transmettre ce virus au cours d'un baiser sur la joue, surtout si ce baiser est en fait une brève accoclade au cours de laquelle on ne s'embrasse pas réellement. Pour information, les Britanniques nomment cette forme de salutation le "French Air Kiss".
(Quotidien du Médecin n°8293)
  
18261da63c4743d301ded2760578227e.gif
 Sur la joue, j'ai écrit !!!!