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lundi, 01 octobre 2018

1ère Année

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Bande Annonce

SynopsisAntoine entame sa première année de médecine pour la troisième fois. Benjamin arrive directement du lycée, mais il réalise rapidement que cette année ne sera pas une promenade de santé. Dans un environnement compétitif violent, avec des journées de cours ardues et des nuits dédiées aux révisions plutôt qu'à la fête, les deux étudiants devront s’acharner et trouver un juste équilibre entre les épreuves d’aujourd’hui et les espérances de demain.

Ambiance assurée

 

18:00 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, cinéma, médecine |  Facebook | | | | Pin it! |

mardi, 17 avril 2012

Orgasme...

DANS L'INTIMITÉ DU SPORT


Une étude unique en son genre, menée par une équipe de l'université de l'Indiana et publiée dans la revue << Sexual and Relationship Thérapy >>, confirme l'existence d'orgasmes féminins induits par la pratique d'exercices physiques. Les exercices les plus courants associés à un orgasme spontané sont les exercices impliquant les muscles centraux du tronc. << Les plus fréquents sont : grimper à la corde, pédaler sur un cycle et soulever des poids >>, explique Debbie Herbenick. À cela l'étude ajoute le yoga, la marche ou la randonnée et la course à pied. Les auteurs ont nommé ce type particulier d'orgasme, induit par l'exercice et survenant en dehors de tout contexte de sexualité, << coregasme >>, par allusion aux << core muscles >>, qui sont précisément les muscles centraux du tronc. L'étude a concerné 370 femmes de 18 à 63 ans, dont 124 ont éprouvé des orgasmes induits par l'exercice (OIE) et 246 du plaisir sexuel induit pendant l'exercice (PSIE). Environ 40% des femmes qui ont eu un OIE ou du PSIE ont véçu l'expérience à plus de dix reprises. Le phénomène n'est pas rare, semble t-il, car les auteurs notent qu'il ne leur a fallu que cinq semaines pour trouver des participantes.

Les mécanismes sous-jacents ne sont pas connus. Mais l'existence de ces << coregasmes >> pourrait inciter des femmes à la pratique d'exercices physiques, que l'on sait être bénéfiques pour la santé et qui, donc << ont peut-être aussi le pouvoir d'améliorer la vie sexuelle des femmes >>, soulignent les auteurs. (Quotidien du médecin, n° 9103)


Ah, ça change des érections élections...

vendredi, 17 juin 2011

Étude

SERRONS-NOUS LA MAIN

Les politiciens, les médecins, les personnalités en vue et, plus généralement, les inquiets de l'hygiène peuvent être rassurés. La poignée de main n'est pas le vecteur de bactéries que l'on croyait. Même après des échanges itératifs, la contamination demeure très faible.

Pour le prouver, il fallait trouver la situation à risque idéale. Des chercheurs du Maryland, David Bishal et coll., l'ont trouvé : les diplômes de fin d'année, quand les enseignants remettent un document, puis félicitent l'impétrant.

Des prélèvements ont été effectués, avant la cérémonie, puis à l'issue de la séance chez 25 <<officiels>>. Sur les cultures avant la séance, une seule a identifié un pathogène, un staphylocoque résistant à la méthicilline. Après moult échanges, toutes leurs mains portaient des bactéries...

Mais les auteurs estiment le taux de contamination à un pathogène pour 5209 poignées de main.

Ils ajoutent que, parmi les étudiants, qui ont serrés moins de mains, la contamination est 100 fois moins élévée que le 17% enregistré chez les soignants au contact de staphylocoques résistant à la méthicilline.

Le contage réduit pourrait être dû à la briéveté de l'échange et à la moindre prévalence des SARM hors hôpital.

Rien n'empêche ceux qui le veulent de se désinfecter les mains quand même. (Quotidien du médecin, n° 8967)

 

Oh là, t'as la main propre ?...

mardi, 07 avril 2009

Jeu n° 6

C'est quoi cette sale bestiole ???

Mais non, ça n'se mange pas !!!

Indice : maladie disparue mais qui malheureusement revient...

DR SANGSUE : t'es hors jeu bien sûr !!!

 

lundi, 15 septembre 2008

Mariage

Retour de mes articles médicaux...

UN  MARIAGE

"L'union a été célébrée dimanche dernier. Giovanna et Enzo se sont dit << oui >> en présence de leur fils, de 2 témoins et d'un représentant de la mairie. "C'est un rêve, une expérience qui n'appartient qu'à nous 2 et à personne d'autre", a commenté le nouvel époux.

Un mariage pas tout à fait comme les autres puisqu'il a eu lieu dans le service de réanimation de l'hôpital de Padoue, en Italie. Victime d'une hépatite au stade terminal, Giovanna, 50 ans, était plongée depuis juillet dans un coma artificiel, afin de ne pas souffrir. Mais, avant de se voir administrer les médicaments, elle avait demandé "à être réveillée" pour pouvoir se marier.

Il a fallu surmonter quelques difficultés bureaucratiques, les invités ont dû enfiler des vêtements stériles et des masques. Et, Giovanna a dû supporter fatigue et douleur pour vivre ces quelques minutes ressemblant au bonheur. "Elle ne se réveillera plus à présent, mais sa vie consciente s'est conclue dans un éclair de joie, un bonheur qu'aucun mal cruel ne pourra lui enlever", a expliqué au journal "La Républica" un des praticiens présents.

Cette histoire juste pour parler, à propos de la fin de vie, d'autre chose que de l'euthanasie et montrer, s'il en était besoin, que les médecins ont a voir aussi, jusqu'à l'approche de la mort, avec le bonheur".

(Quotidien du médecin n° 8417)

Imprégniez-vous de cet article, car le prochain....

 

lundi, 12 mai 2008

Trop de femmes ???

EN  MÉDECINE ?
 
Y a t-il trop de filles parmi les étudiants en médecine ?
 
Le "British Médical Journal" (05 avril) n'hésite pas à poser la question. Et un chercheur de l'université d'Edimbourg, Brian McKinstry, n'hésite pas à répondre avec un oui franc et massif.
 Ses arguments contre une médecine qui se féminise, dans les pays anglos-saxons comme la France ?
Les femmes travaillent souvent à temps partiel, ne font pas d'heures supplémentaires, délaissent des spécialités comme la chirurgie, partent à la retraite plus tôt, voient moins de patients, publient moins lorsqu'elles font de la recherche. Bref, le rendement n'est pas ce qu'il devrait être.
Ce n'est pas que McKinstry en veuille aux femmes. mais tant que la société, qui leur attribue la part la plus grande dans la responsabilité des enfants, ne changera pas, dit-il, il faut un recrutement équilibré "dans le double intérêt de l'équité et de l'offre de soins".
 Le "BMJ" donne la parole à la défense en la personne de Jane Dacre, vide doyenne de la faculté des sciences biomédicales de Londres. Elle vante les résultats des femmes aux examens, leurs qualités psychologiques et leur engagement auprès des patients, pour le bénéfice de ces derniers. Elle relève qu'à l'heure de la nécessaire flexibilité de l'organisation du travail, la féminisation de la médecine est plutôt un atout. Un argument peut-être à double tranchant.
Dans un éditorial associé, le Pr Jenny Firth-Cozens (London Deanery) ajoute que si les hommes ont plus de rendement, cela est compensé par le fait que les femmes ont moins de plaintes de la part des patients et moins de procès.
L'honneur féminin est sauf.
(Le Quotidien du Médecin n° 8348, l'histoire du jour)
 
 Et vive la Médecine Féminime !!!
 
P. S. : Trouver 4 trèfles à 4 feuilles ne multiplient pas la chance par 4 mais, la divise par 4...

12:20 Publié dans Presse Médicale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femmes, médecine, santé |  Facebook | | | | Pin it! |

dimanche, 20 avril 2008

Nudité

LE  PRIX  DE  LA  NUDITÉ
 
Une photo de Carla Bruni dans une pose rappelant un tableau de Seurat, prise en 1993 par Michel Comte et d'une valeur estimée à 4.000 dollars, a été adjugée jeudi dernier à un collectionneur chinois pour 91.000 dollars.
 
Quel rapport avec la médecine ?
 
Le photographe avait convaincu le vendeur, un autre collectionneur, l'Allemand Gert Elfering, de verser la recette à une oeuvre humanitaire. Mais le pédiatre suisse Beat Richner, qui a créé et dirige l'association Kantha Bopha Children's Hospital, l'a tout bonnement refusée. Au Cambodge, où il a mis en place - non sans se fâcher avec l'OMS - plusieurs hôpitaux qui soignent gratuitement les enfants, "l'utilisation de la nudité n'est pas comprise comme elle l'est en Occident", a t-il expliqué au journal suisse "le Matin". "Ma décision a été prise par respect envers nos patients et leurs mères (...) L'acceptation d'argent venant de l'exploitation du corps féminin serait perçue comme une insulte à leur sensibilité et à leur pauvreté". Sans oublier le rang actuel de Mme Bruni-Sarkozy. "Notre réputation serait entachée par l'irrespect que constituerait à leurs yeux l'acceptation d'un don de cette nature."
Le gouvernement helvétique n'a pas eu de scrupules de ce genre. Les fonds iront à un projet de l'Institut suisse de recherche de l'eau, qui vise à fournir aux pays pauvres une méthode simple pour transformer l'eau sale en eau potable.
 (Quotidien du Médecin n°8354, l'histoire du jour)
 
J'ai failli mettre la photo (non pas la mienne !!!), mais j'ai eu peur de la censure !!!.... 
 

jeudi, 17 avril 2008

Ménage

LES  BIENFAITS  DU  MÉNAGE
 
"Il suffit de 20 minutes par semaine de travail domestique pour stimuler la santé mentale"
 
Une telle présentation d'une étude publiée dans le "British Journal of Sports Médecine" ne pouvait qu'attirer l'attention, surtout quand on n'a pas vraiment la fibre ménagère. En fait, le travail réalisé par l'équipe du Dr Hamer, de l'université de Londres, porte sur l'activité physique en général.
 
Se penchant sur un échantillon représentatif de près de 20.000 hommes et femmes interrogés spour la Scottich Health Survey, les chercheurs ont identifié 3.000 personnes souffrant de stress, d'anxiété ou de symptômes dépressifs.
Une détresse psychologique qui diminue dès lors qu'une activité physique est pratiquée ne serait-ce que 20 minutes par semaine. N'importe quelle activité : ménage ou travaux dans la maison, jardinage, marche, sports.
Bien sûr, l'effet le plus important est observé avec le sport, qui peut diminuer le risque de stress ou d'anxiété jusqu'à 33% quand il est pratiqué plus de 4 fois par semaine, avec un effet dose-réponse. Le travail domestique et la marche diminuant le risque de 13 à 20%.
 C'est la 1ère fois, pensent les auteurs, qu'une étude évalue l'importance des différents types d'activité en relation avec la santé mentale. Un argument supplémentaire en faveur de l'activité physique, déjà parée de bien des vertus.
Et de quoi se donner du coeur à l'ouvrage pour le grand nettoyage de printemps.
(Quotidien du Médecin, n° 8350, l'histoire du jour)
 
 Si Messieurs les sondeurs ne savent pas quoi faire, ils peuvent toujours venir faire le ménage à la maison !!!....