dimanche, 19 septembre 2010
Fesses ou Bide
Des fesses plutôt que du bidon
Grosses fesses ou p'tit bidon ? La question est sérieusement débattue dans le mensuel << Avantage >>. Sans conteste, le coeur préfère les fesses. << Elles contiennent des molécules anti-inflammatoires qui empêchent les artères de se boucher >>, assure le magazine. Pour la mémoire, avantage au bidon. << Plus on est enrobé, plus on risque de zapper ses souvenirs >>, résume le mensuel. Les cellules graisseuses du postérieur pourraient favoriser la formation des plaques de la maladie d'Alzheimer. Alors, comment les départager ? Réponse avec les chercheurs de l'université de Harvard, qui ont montré que les silhouettes en forme de poire, avec ses capitons des hanches jusqu'aux cuisses, semblaient davantage épargnées par le diabète de type 2 que celles en forme de pomme (plutôt ronde du haut). (Quotidien du médecin n° 8816)
Pomme ou Poire ???
V E N I S E... J - 7
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mardi, 28 avril 2009
Energie
Même au repos, les muscles des sportifs
consomment de l'énergie !!!
Les athlètes brûlent d'avantage d'énergie que les sédentaires, même lorsque l'entraînement est fini : une étude américaine vient en effet de démontrer que la pratique d'un sport d'endurance conduit à des modifications profondes du métabolisme énergétique. Ce phénomème pourrait jouer un rôle important dans les mécanismes biologiques grâce auxquels l'exercice physique réduit le risque de diabète de type 2.
Les chercheurs ont focalisé leur attention sur 2 fonctions mitochondriales : la fonction oxydative et la synthèse d'ATP. Il est alors apparu que la fonction oxydative associée au métabolisme des athlètes est bien plus efficace que celle des sédentaires, y compris lorsque le muscle est au repos. En revanche, le taux de synthèse de l'ATP est semblable dans les deux groupes de volontaires.
Ces données suggèrent que, même au repos, les muscles des sportifs utilisent d'avantage d'énergie que ceux des sédentaires. ils convertissent cette énergie en chaleur.
La pratique d'un sport d'endurance est depuis longtemps connue pour modifier la fonction musculaire. Il est en particulier bien établi que l'entraînement conduit à une augmentation de la densité des capillaires qui irriguent le muscle.
L'ensemble de ces modifications auraient un impact positif sur le métabolisme en général, associé à une diminution du risque de diabète. Les données aujourd'hui fournies par Shulman et son équipe suggèrent que les sports d'endurances induiraient, entre autre, la combustion des surplus énergétiques. (Quotidien du médecin n° 8444)
C'est bien ce qui m'semblait,
je suis en perpétuelle activité !!!
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jeudi, 30 octobre 2008
Coupable
Un homme de 71 ans avait fait à son épouse, atteinte d'un diabète grave et menacée d'amputation, la promesse de ne pas chercher à la sauver si elle tentait de se suicider. Elle l'avait déjà fait une 1ère fois en 1995 et il avait alors appelé les secours. Dans la soirée du 11 avril 2006, quand il constate que sa femme respire mal et se trouve dans un état comateux à la suite d'une surdose d'insuline et de l'absorption de médicaments, l'époux aimant attend donc 4 heures avant de donner l'alerte.
Pour la justice, pas question de laisser passer. "L'institution ne peut avaliser que quelqu'un laisse mourir son prochain, même par amour", fait valoir le parquet, qui le poursuit pour non assistance à personne en danger et requiert une peine de principe. Celle-ci a été prononcée vendredi dernier par le tribunal de Créteil, qui reconnait l'homme coupable tout en le dispensant de peine. Le condamné, paradoxalement, se réjouit du verdict. Si, comme l'a plaidé son avocat, il s'agissait de <<respecter une liberté fondamentale>>, le droit de mourir après une <<décision mûrement réfléchie>>, il ne souhaitait pas le non-lieu ni la relaxe. Dans ce cas, estime t-il, le jugement aurait pu devenir une <<référence>> dont certains auraient pu se prévaloir dans des situations moins claires ou moins altruistes.
Reste le message qu'envoie le suicide d'une malade qui n'est pas en fin de vie, à laquelle ni son entourage ni les médecins ne sont parvenus à offrir un peu d'espoir, de désir de vivre... (Quotidien du médecin n° 8450)
C'est beau l'Amour quand même !!!
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mercredi, 11 juin 2008
Animal virtuel