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samedi, 25 avril 2009

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Le devoir d'être mince

Mise au point : Les filles, inutile de me faire un kaka nerveux et de se sentir visées parce que je parle de gros. Il va de soi que cet article vise ces Messieurs bedonnants et gras du bide. Merci.

Haro sur les obèses ! Ils constituent une menace pour l'avenir de la planète. Le Dr Phil Edwards et le Pr Ian Roberts (London School of Hygiène and Tropical Médecine) ne le disent pas en ces termes mais la condamnation n'en est pas moins formelle.

Dans une étude publiée par l'<<International Journal of Epidémiology>> (20 avril), ils mesurent les impacts respectifs des minces (la population du Vietnam) et des gros (un pays qui compte 40% d'obèses comme les Etats-Unis). Les premiers consommeront près de 20% de nourriture en moins et produiront beaucoup moins de gaz à effet de serre. Les émissions liées au transport seront aussi moindre : un milliard de minces émettront 1 milliard de tonnes de CO2 en moins par an qu'une population équivalente de personnes en surpoids.

Plus on est gros, plus on a du mal à se mouvoir et plus on est dépendant des voitures, insistent les auteurs. Et de conclure : <<Nous devons faire beaucoup plus pour renverser la tendance générale vers l'obésité et reconnaître que c'est un facteur clé dans la bataille pour réduire les émissions et ralentir le changement climatique>>.

Là où la dictature esthétique de la minceur a échoué, l'argument écologique réussira t-il ? Il est à craindre que non. Autant pour la santé des humains d'aujourd'hui que pour celle de la Terre de demain. (Quotidien du médecin n° 8554)

Finalement, il n'y a pas ques les vaches,

qui détruisent la couche ozone...